Por el sol
--> ... pour Elle
Alors c'est ça notre début d'année ? Une amitié gâchée ? Des souvenirs qui partent en marmelade. Je ne sais même pas si je peux me permettre d'écrire ' notre '. Il n'y a pas eu de partage. Et un " nous " sans partage n'existe pas, je crois.
J'ai l'impression que mes rayons ne te brûlent plus la peau. J'ai l'impression de n'être qu'une faible lueur qui brille tant bien que mal. Des sms sans réponses. Un "bloquage". Et mes reproches que tu ne sembles jamais prendre en compte. Des reproches qui pourtant résonnent tout les trois mois dans ta tête car c'est toujours toujours les mêmes. Je veux bien faire des efforts et moins te cracher à la geule ces reproches désagréables mais écoute les un peu, car ce n'est ni une grossesse, ni un mec qui est en danger, non, c'est notre amitié. Je t'ai toujours plus ou moins fait confiance. Parce que je t'aime. Je crois t'avoir toujours montré de l'attachement. Un peu trop ?
J'ai essayé de comprendre cela : "Oui mais pour moi notre amitié est si forte qu'on n'a pas forcément de se voir, ni de s'appeller". Mais en vain. Parce que ce n'est pas ma conception de l'amitié. Pour moi ce sentiment est quelque chose qui faut faire vivre, c'est comme un feu qu'il faut toujours nourir en bois, en souffle. Je dis sûrement des conneries, je sais pas. Je m'en fous.
J'ai pas l'intention de t'appeller. Je dis pas que c'est toujours moi qui m'escuse, je dis que c'est toujours moi qui t'appelle pour parler. Un geste simple qui semble te poser problème.
T., m'a dit ce que tu lui avais dit. J'ai failli décrocher le téléphone pour te parler. Mais finalement non, parce que ce que tu lui as écrit, il aurait fallu l'écrire à moi, ou plutôt me le dire à moi. Mais tu m'a bloquée. Sur msn. Et dans ta tête aussi ?
Les mots n'ont pas beaucoup de valeurs si il n'y a pas de gestes derrière. Je ne te demande pas la Lune, juste quelques dix numéros à tapoter de temps en temps, des "on se voit samedi " à ne pas annuler quand l'envie te prend. Je ne veux pas qu'on soit coller, je veux qu'on entretienne notre amitié. Une amitié qui perdure depuis presque cinq ans.
Tu es ma meilleure amie. Je sais pas pourquoi mais c'est ainsi. Peut-être parce que tu as des qualités exeptionnelles que peu de filles que je connais détiennent.
Tu as un humour qui fait bondir de rirattitude. Tu as une intelligence hors du commun. Tu as de l'affection à revendre (un peu violemment parfois, certes, mais tout de même).
Tu as des idées qui me plaisent à revendiquer.
Je t'aime ma Lisou, tu le sais. Mais s'il te plait fait un effort.
Un tout petit. Parce que j'ai pas envie de te perdre mais que cette fois je ne ferai rien pour te retenir. Tu as ta liberté, tes amis, ta vie, ton bahut, bref, ton univers. J'ai aussi le mien.
Avant, les deux étaient compatibles. Je pense que c'est toujours le cas. Juste que je suis ronchonne, chiante, têtue, enfin, tu connais mes défauts et que tu te comportes parfois assez égoïstement.
Je sais que je te reproche beaucoup de choses. Je m'escuse et je vais essayer de faire un effort mais seulement si tu décroches ce putain de téléphone.
Tu connais le numéro.
Bisous.
PS: Même que depuis notre engeulade, j'écris comme un bide.
J'ai l'impression que mes rayons ne te brûlent plus la peau. J'ai l'impression de n'être qu'une faible lueur qui brille tant bien que mal. Des sms sans réponses. Un "bloquage". Et mes reproches que tu ne sembles jamais prendre en compte. Des reproches qui pourtant résonnent tout les trois mois dans ta tête car c'est toujours toujours les mêmes. Je veux bien faire des efforts et moins te cracher à la geule ces reproches désagréables mais écoute les un peu, car ce n'est ni une grossesse, ni un mec qui est en danger, non, c'est notre amitié. Je t'ai toujours plus ou moins fait confiance. Parce que je t'aime. Je crois t'avoir toujours montré de l'attachement. Un peu trop ?
J'ai essayé de comprendre cela : "Oui mais pour moi notre amitié est si forte qu'on n'a pas forcément de se voir, ni de s'appeller". Mais en vain. Parce que ce n'est pas ma conception de l'amitié. Pour moi ce sentiment est quelque chose qui faut faire vivre, c'est comme un feu qu'il faut toujours nourir en bois, en souffle. Je dis sûrement des conneries, je sais pas. Je m'en fous.
J'ai pas l'intention de t'appeller. Je dis pas que c'est toujours moi qui m'escuse, je dis que c'est toujours moi qui t'appelle pour parler. Un geste simple qui semble te poser problème.
T., m'a dit ce que tu lui avais dit. J'ai failli décrocher le téléphone pour te parler. Mais finalement non, parce que ce que tu lui as écrit, il aurait fallu l'écrire à moi, ou plutôt me le dire à moi. Mais tu m'a bloquée. Sur msn. Et dans ta tête aussi ?
Les mots n'ont pas beaucoup de valeurs si il n'y a pas de gestes derrière. Je ne te demande pas la Lune, juste quelques dix numéros à tapoter de temps en temps, des "on se voit samedi " à ne pas annuler quand l'envie te prend. Je ne veux pas qu'on soit coller, je veux qu'on entretienne notre amitié. Une amitié qui perdure depuis presque cinq ans.
Tu es ma meilleure amie. Je sais pas pourquoi mais c'est ainsi. Peut-être parce que tu as des qualités exeptionnelles que peu de filles que je connais détiennent.
Tu as un humour qui fait bondir de rirattitude. Tu as une intelligence hors du commun. Tu as de l'affection à revendre (un peu violemment parfois, certes, mais tout de même).
Tu as des idées qui me plaisent à revendiquer.
Je t'aime ma Lisou, tu le sais. Mais s'il te plait fait un effort.
Un tout petit. Parce que j'ai pas envie de te perdre mais que cette fois je ne ferai rien pour te retenir. Tu as ta liberté, tes amis, ta vie, ton bahut, bref, ton univers. J'ai aussi le mien.
Avant, les deux étaient compatibles. Je pense que c'est toujours le cas. Juste que je suis ronchonne, chiante, têtue, enfin, tu connais mes défauts et que tu te comportes parfois assez égoïstement.
Je sais que je te reproche beaucoup de choses. Je m'escuse et je vais essayer de faire un effort mais seulement si tu décroches ce putain de téléphone.
Tu connais le numéro.
Bisous.
PS: Même que depuis notre engeulade, j'écris comme un bide.
Ecrit par ninoutita, le Dimanche 22 Janvier 2006, 20:46 dans la rubrique Journal qui se veut intime .
Commentaires :
Re: Re:
C'est bon, Germaine, tu peux ramasser tes bras !
et toi tu peux recommencer à m'ébahir avec ton talent !
disturb