Allées et venues d'un coeur désorganisé
--> ... blablas inutiles
Il me pris par le bras comme on ballade une aveugle.
Tout doucement.
C'était le matin très tôt, à l'heure où les camions livrent leurs cargaisons. Les rues étaient déjà innondées d'un soleil doux et juteux. Ses yeux, couleur bonheur, se tailler un passage à travers le bitume pour m'amener quelque part, un endroit sans nom mais surement aussi merveilleux que le sien.
Et puis à force de marcher, on arriva au bord d'une rivière nacrée dans laquelle de grands arbres se reflétaient. Il sourit.
Et je me réveillais en souriant malgré l'hideuse sonnerie du réveil. Le soleil percait mon volet, jouant avec chacune de ses rainures. Une masse toute chaude vint se blautir contre ma hanche gauche. Ma petite chienne sous la couette me faisait profiter de son souffle rassurant.
Je ferme les yeux très fort histoire de faire comme si ils ne s'étaient jamais ouverts. Comme si.
Je me suis surmement rendormis, mais pas assez longtemps ni passionémment pour Le retrouver.
Alors aujourd'hui je suis un peu autre part, je n'écoute pas quand on me parle, je ferme les yeux quand je les cligne.
Je dis n'importe quoi, je confonds molécules avec cellules.
Je confonds atome et âme.
Je confonds rêve et réalité.
Xa est venue rapidement à la maison voir Un Long Dimanche de Fiancailles. Le film est beau dans sa rapidité, le livre est chiant dans sa longueur. L'acteur qui joue Manech a beaucoup de charme avec sa " parenthèse " qui se dessine sur sa joue, quand il sourit.
Le garçon de mon rêve me fait penser à quelqu'un. Je ne cesse de chercher dans ma tête, d'associer ce visage à un autre mais cela ne me revient pas.
Ou alors ?
Ca serait Lui ? Pas l'asiatique, un Autre.
Je deviens polyvalente.
Inquiétant.
Je l'ai vu dans le tram Lundi, le visage terriblement souriant, les yeux qui ne cessaient de me regarder - rapidement - et un vieux pull à l'allure confortable. J'adores les garçons à pull, s'est tellement mieux que les sweets.
Demain je prends le tram devant son bahut pour voir s'il y est.
Il est dans le même bahut que l'asiatique, d'ailleurs j'ai vu ce monsieur Mardi.
Mais parait que c'est un drogué, alors je l'ai rapidement oublier. Je déteste l'autodestruction. Je hais la drogue.
Et j'ai vite fait d'aimer en ce moment.
Tout doucement.
C'était le matin très tôt, à l'heure où les camions livrent leurs cargaisons. Les rues étaient déjà innondées d'un soleil doux et juteux. Ses yeux, couleur bonheur, se tailler un passage à travers le bitume pour m'amener quelque part, un endroit sans nom mais surement aussi merveilleux que le sien.
Et puis à force de marcher, on arriva au bord d'une rivière nacrée dans laquelle de grands arbres se reflétaient. Il sourit.
Et je me réveillais en souriant malgré l'hideuse sonnerie du réveil. Le soleil percait mon volet, jouant avec chacune de ses rainures. Une masse toute chaude vint se blautir contre ma hanche gauche. Ma petite chienne sous la couette me faisait profiter de son souffle rassurant.
Je ferme les yeux très fort histoire de faire comme si ils ne s'étaient jamais ouverts. Comme si.
Je me suis surmement rendormis, mais pas assez longtemps ni passionémment pour Le retrouver.
Alors aujourd'hui je suis un peu autre part, je n'écoute pas quand on me parle, je ferme les yeux quand je les cligne.
Je dis n'importe quoi, je confonds molécules avec cellules.
Je confonds atome et âme.
Je confonds rêve et réalité.
Xa est venue rapidement à la maison voir Un Long Dimanche de Fiancailles. Le film est beau dans sa rapidité, le livre est chiant dans sa longueur. L'acteur qui joue Manech a beaucoup de charme avec sa " parenthèse " qui se dessine sur sa joue, quand il sourit.
Le garçon de mon rêve me fait penser à quelqu'un. Je ne cesse de chercher dans ma tête, d'associer ce visage à un autre mais cela ne me revient pas.
Ou alors ?
Ca serait Lui ? Pas l'asiatique, un Autre.
Je deviens polyvalente.
Inquiétant.
Je l'ai vu dans le tram Lundi, le visage terriblement souriant, les yeux qui ne cessaient de me regarder - rapidement - et un vieux pull à l'allure confortable. J'adores les garçons à pull, s'est tellement mieux que les sweets.
Demain je prends le tram devant son bahut pour voir s'il y est.
Il est dans le même bahut que l'asiatique, d'ailleurs j'ai vu ce monsieur Mardi.
Mais parait que c'est un drogué, alors je l'ai rapidement oublier. Je déteste l'autodestruction. Je hais la drogue.
Et j'ai vite fait d'aimer en ce moment.
Ecrit par ninoutita, le Mardi 11 Octobre 2005, 22:20 dans la rubrique Journal qui se veut intime .
Commentaires :
ohohoh, si tu passe devant tous les jours tu risque de le croiser de temps a autres, mais si tu reste planter devant toute la journée alors la tu es sure de le voir!!!
C'est une idée pourrie a laquelle, je suis sur, tu avais déjà pensé !
petite question en passant, c'est quoi un soleil juteux? Hein?
Non je dis ca paske bon, un soleil doux et juteux ca fait jus d'orange un peu... Vous avez pas le meme soleil a strasbourg?
C'est une idée pourrie a laquelle, je suis sur, tu avais déjà pensé !
petite question en passant, c'est quoi un soleil juteux? Hein?
Non je dis ca paske bon, un soleil doux et juteux ca fait jus d'orange un peu... Vous avez pas le meme soleil a strasbourg?
Rien à dire ça me touche c'est tout
et tout est déja dit....quand je dis ça....