C’est à cet instant que j’eus une sensation d’oppression et je fermais les yeux en attendant que cela passe. Plus tard quand je les rouvris, la bête sans corps semblait s’être un peu éloignée et, prenant mon courage à deux mains, je m’agrippais à la racine d’un arbre pour me sortir de terre.
Mes mains glissaient sur l’écorce mouillée et je tentais tant bien que mal de m’extraire de ce trou. Quand plus tard j’y arrivais un soupir de soulagement s’échappa de ma bouche crispée. Ce soulagement ne dura que quelques minutes car j’entendis à nouveau ces terrifiants bruits et je restais figé, incapable de faire le moindre mouvement. Lorsque lentement, je relevais la tête, j’aperçus au loin les deux yeux et mes jambes furent parcourues de fourmillements désagréables. Une longue minute passa et je courus vaillamment vers la bête. Au fil de ma course la terreur m’emplissait et mon coeur se serra lorsque j’aperçus que la bête n’était pas là. Le brouillard avait un peu baissé mais s’étendait sur toute la lande verdoyante. Cela me permis de remarquer que j’étais complétement seul dans ce champs. Était-ce une hallucination ? Je ne le sus jamais mais j’émis plusieurs suppositions. N’était-ce pas les yeux d’une vache ? Il aurait été bien normal d’avoir à faire à un bovin dans un lieu pareil !

Alors je tiens à préciser que je les recopier en vitesse d'une feuille de brouillon donc s'il y a fautes, veuillez m'escuser ;)
En plus de cela, y aura peut-être des fautes de temps, des répétitions mais j'ai encore un peu de temps pour la bosser cette rédaction...
Enfin, ce passage doit être la suite d'une nouvelle de Maupassant donc j'ai pensé que ça serait sympas de le faire dans son genre.
Ouuuf, plus que la conclusion avec ce putain de récit cadre et c'est la fiiiin !