L'effet papillon
De plus en plus grand, de plus en plus fort, de plus en plus oppressant.
Les semaines passent et bientot cela fera quatre longs mois que je n'ai pas vu tes yeux rieurs, que je n'ai pas tenu ta main. On empile les jours ainsi que les promesses, on étouffe sous le poids de la distance et finalement je fonds en larme au fond d'un lit qui me semble trop vaste. Ta voix colle à ma peau comme un papillon en agonie et, malgré un sourire imparfait qui se prélasse sur mes lèvres, je crie.
Et puis il y a la tentation. Bon, c'est vrai, ce n'est pas comme si on tombait à mes pieds mais moi, je tombe aux leurs. Avec plus de fierté que cela mais. Il y a ces yeux très doux et cette voix légèrement tinté d'un ailleurs souffrant qui m'attirent.
Une faible attirance sans doute mais elle pourrait évoluer et me perdre.
Je veux le bien de notre amour pourtant je m'amuse à imaginer des toi tout près de moi. Des être frolant la perfection du bout de l'aile. Des êtres trop semblables pour exister réellement. Et je me noie. Encore et toujours. Pour toujours.
J'aimerai revivre éternellement cette fameuse semaine de juillet. Puis aller mourir, toujours dans tes bras, haut dans le ciel. On s'enfermerait dans un nuage orangée et on croquerait du rêve. Plus loin, il y aurait l'infini et ses étoiles. Tout près il y aurait ta main, tes yeux, ta bouche, ton dos.
J'y crois... je souris à un reflet magique qui me renvoit ton image. Une certaine joie émane de cette fin de journée. Comme quoi, même derrière la déception, il y a une once de gaité.
Les semaines passent et bientot cela fera quatre longs mois que je n'ai pas vu tes yeux rieurs, que je n'ai pas tenu ta main. On empile les jours ainsi que les promesses, on étouffe sous le poids de la distance et finalement je fonds en larme au fond d'un lit qui me semble trop vaste. Ta voix colle à ma peau comme un papillon en agonie et, malgré un sourire imparfait qui se prélasse sur mes lèvres, je crie.
Et puis il y a la tentation. Bon, c'est vrai, ce n'est pas comme si on tombait à mes pieds mais moi, je tombe aux leurs. Avec plus de fierté que cela mais. Il y a ces yeux très doux et cette voix légèrement tinté d'un ailleurs souffrant qui m'attirent.
Une faible attirance sans doute mais elle pourrait évoluer et me perdre.
Je veux le bien de notre amour pourtant je m'amuse à imaginer des toi tout près de moi. Des être frolant la perfection du bout de l'aile. Des êtres trop semblables pour exister réellement. Et je me noie. Encore et toujours. Pour toujours.
J'aimerai revivre éternellement cette fameuse semaine de juillet. Puis aller mourir, toujours dans tes bras, haut dans le ciel. On s'enfermerait dans un nuage orangée et on croquerait du rêve. Plus loin, il y aurait l'infini et ses étoiles. Tout près il y aurait ta main, tes yeux, ta bouche, ton dos.
J'y crois... je souris à un reflet magique qui me renvoit ton image. Une certaine joie émane de cette fin de journée. Comme quoi, même derrière la déception, il y a une once de gaité.
Ecrit par ninoutita, le Lundi 23 Octobre 2006, 20:23 dans la rubrique Journal qui se veut intime .