Une matinée magique
--> en plein rêve
Un rais de lumière vient transpercer mes paupières encore endormies. Je sursaute. De mon vélux ouvert, je vois le soleil pointé le bout de son nez. J'étire tout mon corps ensomeillé comme un chat. Le soleil carresse ma peau. Je n'ai pas regardé mon réveil mais d'après la lumière dans laquelle trempait ma chambre il devait être tôt, je dirais même que c'était l'aube. Et puis j'ai eu une envie indescrpitible. Une envie de totale liberté. J ai enfilé un t-shirt blanc, pur, simple, comme je les aime et ma jupe rose pastel en dentelle. J'ai descendu doucement les marches blanc-cassé de l'escalier pour ne pas faire de bruit. Pour ne réveiller personne.
Je suis entrée dans la cuisine en murmurant un petit "chut" à mes chiennes, pour ne pas qu'elles aboient. J'ai ouvert le frigo, sorti le jus de framboise, m'en suis servis un verre. Le goût délicieusement fruité ai venu s'écraser sur mon palet. Je me sentais bien. Et puis je m'en suis allée. Je suis sortie de mon jardin, j'ai marché dans la rue, pieds nus, sous le soleil matinal. J'écrasais lentement mes talons sur le bitume tièdasse. J'ai marché, marché, marché toujours et encore, jusqu'à la rivière le "Rhin tortue".
Arrivée, je me suis posée dans l'herbe encore fraiche. J'ai profité de ce matin paisible, de la douceur de l'air, de la chaleur du soleil.
Je me souviens...
" hé Ninou! t'es cap?"
Et puis plouf. J'avais sauté dans l'eau glacée. Je l'avais rejoins.
Les images me reviennent. Le sourire malicieux de Quentin. Quentin, mon regretté Quentin. Mon Ange qui n'est plus de ce monde. Mon égo, mon frère de sang. Toutes les rimes qui sonnent dans ma tête sont pour lui. Tous mes poèmes, je les lui dédis. C'est dur de perdre son double.
Quand enfin, j'ai resurgit de mes souvenirs, j'ai rie. Rie violament, sans m'arrêter. Et comme un paris qu'on se fait à sois-même, j'ai plongé dans l'eau, toujours aussi glacée, toute habillée.
Aujourd'hui, j'avais envie de faire quelque chose de magique.
L'atmosphère, l'ambiance tout était magique.
Quand je suis resortie de l'eau, trempée, je me suis roulée dans l'herbe, comme un gamine, comme ce que nous faisions avec ma soeur, avant, bien avant...comme quand elle avait onze ans et moi six.
Je ne vis que sur des souvenirs. En tout cas en ce moment.
Quand je suis rentrée chez moi, mes parents étaient en train de petit déjeuner sur la terrasse. J'ai regardé mon père, et avant que ma mère ai pu ouvrir la bouche, pour me demander ce que j'étais allée faire, il a dit:
" va te chercher une chaise"
Il savait que ce que j'étais allée faire ne concerner que moi et mon intimité. Merci Papa.
Je suis entrée dans la cuisine en murmurant un petit "chut" à mes chiennes, pour ne pas qu'elles aboient. J'ai ouvert le frigo, sorti le jus de framboise, m'en suis servis un verre. Le goût délicieusement fruité ai venu s'écraser sur mon palet. Je me sentais bien. Et puis je m'en suis allée. Je suis sortie de mon jardin, j'ai marché dans la rue, pieds nus, sous le soleil matinal. J'écrasais lentement mes talons sur le bitume tièdasse. J'ai marché, marché, marché toujours et encore, jusqu'à la rivière le "Rhin tortue".
Arrivée, je me suis posée dans l'herbe encore fraiche. J'ai profité de ce matin paisible, de la douceur de l'air, de la chaleur du soleil.
Je me souviens...
" hé Ninou! t'es cap?"
Et puis plouf. J'avais sauté dans l'eau glacée. Je l'avais rejoins.
Les images me reviennent. Le sourire malicieux de Quentin. Quentin, mon regretté Quentin. Mon Ange qui n'est plus de ce monde. Mon égo, mon frère de sang. Toutes les rimes qui sonnent dans ma tête sont pour lui. Tous mes poèmes, je les lui dédis. C'est dur de perdre son double.
Quand enfin, j'ai resurgit de mes souvenirs, j'ai rie. Rie violament, sans m'arrêter. Et comme un paris qu'on se fait à sois-même, j'ai plongé dans l'eau, toujours aussi glacée, toute habillée.
Aujourd'hui, j'avais envie de faire quelque chose de magique.
L'atmosphère, l'ambiance tout était magique.
Quand je suis resortie de l'eau, trempée, je me suis roulée dans l'herbe, comme un gamine, comme ce que nous faisions avec ma soeur, avant, bien avant...comme quand elle avait onze ans et moi six.
Je ne vis que sur des souvenirs. En tout cas en ce moment.
Quand je suis rentrée chez moi, mes parents étaient en train de petit déjeuner sur la terrasse. J'ai regardé mon père, et avant que ma mère ai pu ouvrir la bouche, pour me demander ce que j'étais allée faire, il a dit:
" va te chercher une chaise"
Il savait que ce que j'étais allée faire ne concerner que moi et mon intimité. Merci Papa.
Ecrit par ninoutita, le Mercredi 13 Juillet 2005, 17:40 dans la rubrique Journal qui se veut intime .
Commentaires :
Re:
J'espère que les autres articles te plairont :)
Ca me fait très plaisir, d'avoir des commentaires aussi sympas.
Ca me fait très plaisir, d'avoir des commentaires aussi sympas.
non mais.........
tu vas vraiment me manquer....
ah je ne peux plus me passer de tes (environ) deux textes par jour là lààààà........
Comment vais-je faire sans toi choupinouta ?
c'est vrai, c'est magique ce que tu écris, c'est vivant...
et puis.... ce qui est magique et vivant et fascinant et intéressant et passionnant... (:D)
C'est TOI ! tout simplement !
:-)
tu vas vraiment me manquer....
ah je ne peux plus me passer de tes (environ) deux textes par jour là lààààà........
Comment vais-je faire sans toi choupinouta ?
c'est vrai, c'est magique ce que tu écris, c'est vivant...
et puis.... ce qui est magique et vivant et fascinant et intéressant et passionnant... (:D)
C'est TOI ! tout simplement !
:-)
Je me joins aux autres pour les compliments ^^
Je te découvre à peine, et déjà je vais devoir attendre ton retour.
Biz'
Je te découvre à peine, et déjà je vais devoir attendre ton retour.
Biz'
Egocentrique
Les mots sont magiques surtout, c'est tellement beau, ton article m'a beaucoup émue, c'est tellement beau..
Je m'en vais lire les autres..
Biz', je reviendrai..