Mais les chocapics continuent à se consumer
Je LE présente.
Il est beau à être mangé. Il n'est pas aussi appétissant que toi mais il transpire la créativité.
Je l'ai reçu ce 21, entre la douceur de l'été et les couleurs de l'automne. Pas entre tes bras mais. C'était un de mes plus beaux 21. Je t'aime.
Tu m'as souhaitée mon anniversaire en deuxième, Claire t'ayant devancé de quelques minutes. Elle me l'a dit avec des mots qui m'ont énormément touchée mais la chanson qui s'est faufilé jusqu'à mon oreille lorsque j'ai décroché m'a fait hésiter entre le rire et les larmes... de bonheur. Tu ne m'as pas oubliée, rien n'est fini et j'ai même envie d'espérer que tout commence.
Le bonheur serait tellement simple à consommer malgré les centaines de kilomètres qu'il faudrait consumer.
Bien sûr on devra y croire pendant longtemps sans se déchirer. J'ai tellement peur d'écrire tout cela et puis finalement de relire mes écrits un jour et de ne plus être celle qui t'envoit des chocapics à la tronche, à quatre heures du matin.
Parce que romantique rime avec chocapic. Parce qu'on s'aime à l'envers.
Ce nous est tellement présent dans mon esprit que j'en deviens totalement obsessionnelle, à te comparer à chaque garçon qui m'apparait comme étant presque beau. Mais tu sais ce qui me fait le plus m'envoler, totalement épanouie, dans les cieux bleutés ? C'est que tu m'as dit ressentir la même chose. Et peut-être que le pire, c'est que je te crois.
Il est beau à être mangé. Il n'est pas aussi appétissant que toi mais il transpire la créativité.
Je l'ai reçu ce 21, entre la douceur de l'été et les couleurs de l'automne. Pas entre tes bras mais. C'était un de mes plus beaux 21. Je t'aime.
Tu m'as souhaitée mon anniversaire en deuxième, Claire t'ayant devancé de quelques minutes. Elle me l'a dit avec des mots qui m'ont énormément touchée mais la chanson qui s'est faufilé jusqu'à mon oreille lorsque j'ai décroché m'a fait hésiter entre le rire et les larmes... de bonheur. Tu ne m'as pas oubliée, rien n'est fini et j'ai même envie d'espérer que tout commence.
Le bonheur serait tellement simple à consommer malgré les centaines de kilomètres qu'il faudrait consumer.
Bien sûr on devra y croire pendant longtemps sans se déchirer. J'ai tellement peur d'écrire tout cela et puis finalement de relire mes écrits un jour et de ne plus être celle qui t'envoit des chocapics à la tronche, à quatre heures du matin.
Parce que romantique rime avec chocapic. Parce qu'on s'aime à l'envers.
Ce nous est tellement présent dans mon esprit que j'en deviens totalement obsessionnelle, à te comparer à chaque garçon qui m'apparait comme étant presque beau. Mais tu sais ce qui me fait le plus m'envoler, totalement épanouie, dans les cieux bleutés ? C'est que tu m'as dit ressentir la même chose. Et peut-être que le pire, c'est que je te crois.
Ecrit par ninoutita, le Samedi 23 Septembre 2006, 00:19 dans la rubrique Journal qui se veut intime .
Commentaires :
ciorale
Et çà me frustre beaucoup de ne plus pouvoir venir comme je veux!
Je reveux une vie sociale jouebienne! ^^
Tu es peut-être en cours à l'heure qu'il est.
Je t'embrasse Ninou. Et bon courage surtout.