mon coeur t'écrit
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Merci pour l'éternité que tu m'as offerte en composant dix petits numéros.
Entendre ta voix m'a plus que boulversée. Mes larmes ont roulées. J'entendais ton bébé qui pleurait derrière toi. Et pourtant il n'est pas encore né.
Tout ça est allé si vite. Je suis passée si rapidement de l'amour pur à la haine forcée. Contrainte à te détester parce que tu m'avais tellement fait souffrir. Et ce soir, tu m'appelles, après je ne sais combien de mois d'absence. J'en ai des frissons.
Tu ne peux même pas t'imaginer combien j'ai espérer ce moment où tu te souviendrais que malgré tout j'existe. Oui je suis très jeune, non je ne suis pas la mère de ton enfant et heureusement mais j'existe. Je vis. Ma poitrine monte et redescends lorsque je respire.
Je me souviens si bien de nous sur cette place verdoyante si chère à mes yeux. Je me souviens de la chaleur qui oppressait mon coeur lorsque mes mains touchaient les tiennes. Rien ne sait jamais passé entre nous. Je ne fus qu'une période de transition pour toi. Et pourtant. Pourtant n'est-ce pas ta voix qui m'a demandée comment j'allais aujourd'hui ?
Malgré tous les efforts que j'ai fournis pour t'oublier ton nom est à jamais gravé dans les lignes de ma tête.
Tu es plus qu'un homme, tu es l'amour. Tu es l'étoile. Mon ange. Celui que je ne pourrais jamais avoir. Cela me frustre. Et alors ?
Tu ne liras sans doute jamais ces lignes que j'écris plus avec mon sang qu'avec mes doigts. Tu ne verras jamais mes larmes. Tu n'entendras que ma voix qui fuse dans ton oreille pour répondre à tes simples questions.
Pourquoi m'as-tu rappelée ce soir ?
Tout simplement pour savoir ce que je devenais ? Pour me faire un peu souffrir ? Ou alors aimes-tu entendre ma voix se briser à chacune de mes paroles prononcées ?
Je n'ai cessé de penser à toi malgré toutes les remontrances que je me faisais subir. Mais vois-tu rien n'es plus pur que l'amour que j'ai pu te porter.
Rien n'y personne ne pourra arracher les souvenirs qui obstruent mes pensées. Mon subconscient refuse de rayer ton prénom.
Je t'aime parce que tu as fait naitre en moi un sentiment moins superficiel que l'amour. Je ne sais même pas si ce sentiment à un nom. Et même s'il n'en a pas, je l'inventerai.
J'aimerais bien être la marraine de ton enfant. Juste parce qu'il vient de toi. Juste parce que tu représentes pour moi l'homme idéal, parfait, merveilleux, j'en passe et je n'exagère rien. J'aimerai plus tard en trouver un pareil à toi.
Mais à force d'espérer on oublie. Peut-être que dans dix ans, quand j'aurais grandis en sagesse, je te regarderais autrement. Pas peut-être, surement.
Ou alors nous serons amis.
La même question me revient encore une fois.
Pourquoi cet appel ? Crois-tu qu'il est facile pour moi de comprendre ?
Une loudre espèrance me troue. J'espère un autre appel. Plus long. Plus tendre. Plus toi.
Ton prénom roule sur ma langue. Roule dans mon corps jusqu'à mon coeur. Et comme la dernière fois où j'ai parlé de toi voilà quelques paroles qui te vont à merveille.
" Raphaël à l'air d'un ange, mais c'est un diable de l'amour
Du bout des hanches et de son regard de velours,
Quand il se penche, quand il se penche, mes nuits sont blanches,
Et pour toujours..."
Carla Bruni
Entendre ta voix m'a plus que boulversée. Mes larmes ont roulées. J'entendais ton bébé qui pleurait derrière toi. Et pourtant il n'est pas encore né.
Tout ça est allé si vite. Je suis passée si rapidement de l'amour pur à la haine forcée. Contrainte à te détester parce que tu m'avais tellement fait souffrir. Et ce soir, tu m'appelles, après je ne sais combien de mois d'absence. J'en ai des frissons.
Tu ne peux même pas t'imaginer combien j'ai espérer ce moment où tu te souviendrais que malgré tout j'existe. Oui je suis très jeune, non je ne suis pas la mère de ton enfant et heureusement mais j'existe. Je vis. Ma poitrine monte et redescends lorsque je respire.
Je me souviens si bien de nous sur cette place verdoyante si chère à mes yeux. Je me souviens de la chaleur qui oppressait mon coeur lorsque mes mains touchaient les tiennes. Rien ne sait jamais passé entre nous. Je ne fus qu'une période de transition pour toi. Et pourtant. Pourtant n'est-ce pas ta voix qui m'a demandée comment j'allais aujourd'hui ?
Malgré tous les efforts que j'ai fournis pour t'oublier ton nom est à jamais gravé dans les lignes de ma tête.
Tu es plus qu'un homme, tu es l'amour. Tu es l'étoile. Mon ange. Celui que je ne pourrais jamais avoir. Cela me frustre. Et alors ?
Tu ne liras sans doute jamais ces lignes que j'écris plus avec mon sang qu'avec mes doigts. Tu ne verras jamais mes larmes. Tu n'entendras que ma voix qui fuse dans ton oreille pour répondre à tes simples questions.
Pourquoi m'as-tu rappelée ce soir ?
Tout simplement pour savoir ce que je devenais ? Pour me faire un peu souffrir ? Ou alors aimes-tu entendre ma voix se briser à chacune de mes paroles prononcées ?
Je n'ai cessé de penser à toi malgré toutes les remontrances que je me faisais subir. Mais vois-tu rien n'es plus pur que l'amour que j'ai pu te porter.
Rien n'y personne ne pourra arracher les souvenirs qui obstruent mes pensées. Mon subconscient refuse de rayer ton prénom.
Je t'aime parce que tu as fait naitre en moi un sentiment moins superficiel que l'amour. Je ne sais même pas si ce sentiment à un nom. Et même s'il n'en a pas, je l'inventerai.
J'aimerais bien être la marraine de ton enfant. Juste parce qu'il vient de toi. Juste parce que tu représentes pour moi l'homme idéal, parfait, merveilleux, j'en passe et je n'exagère rien. J'aimerai plus tard en trouver un pareil à toi.
Mais à force d'espérer on oublie. Peut-être que dans dix ans, quand j'aurais grandis en sagesse, je te regarderais autrement. Pas peut-être, surement.
Ou alors nous serons amis.
La même question me revient encore une fois.
Pourquoi cet appel ? Crois-tu qu'il est facile pour moi de comprendre ?
Une loudre espèrance me troue. J'espère un autre appel. Plus long. Plus tendre. Plus toi.
Ton prénom roule sur ma langue. Roule dans mon corps jusqu'à mon coeur. Et comme la dernière fois où j'ai parlé de toi voilà quelques paroles qui te vont à merveille.
" Raphaël à l'air d'un ange, mais c'est un diable de l'amour
Du bout des hanches et de son regard de velours,
Quand il se penche, quand il se penche, mes nuits sont blanches,
Et pour toujours..."
Carla Bruni
Ecrit par ninoutita, le Lundi 7 Novembre 2005, 23:16 dans la rubrique Journal qui se veut intime .
Commentaires :
Re:
Bha pour moi l'amour est impossible...
Une grosse connerie à tes yeux ? Tes yeux ont le temps de changer d'avis non ? Tu ne dois pas être si vieux ;)
J'vais voir la photo alors !
Une grosse connerie à tes yeux ? Tes yeux ont le temps de changer d'avis non ? Tu ne dois pas être si vieux ;)
J'vais voir la photo alors !
Re: Re: Re: Re:
Tu me fais rire, pour la peine un ro bizouxe sur ta trruffe..euh po de bavage hein? Sinon je me fache tout rouge!!!
grrrr hop la bizouxe!!
magnifique magnifique cette déclaration à un si beau prénom ;-)
Tu écris toujours aussi bien, je veux te l'assurer.
Et si tu crois que dans tes derniers textes tu ne te retrouvais pas aussi bien qu'avant, là moi je retrouve complètement (d'ailleurs tu as toujours été présente dans tes textes (hum c'est d'un logique ce que j'écris...) quels qu'ils soient).
C'est fou comme des personnes comme ici Raphaël peuvent inspirer l'écriture.
car même si "ça vient tout seul" quand tu es devant ton écran, tu n'es pas toujours satisfaite de ta production finale...
Mais là !!!
aaaaaah j'adore.
Bravo Ninou
et très bon concert !
Je pense fort à toi
Tu écris toujours aussi bien, je veux te l'assurer.
Et si tu crois que dans tes derniers textes tu ne te retrouvais pas aussi bien qu'avant, là moi je retrouve complètement (d'ailleurs tu as toujours été présente dans tes textes (hum c'est d'un logique ce que j'écris...) quels qu'ils soient).
C'est fou comme des personnes comme ici Raphaël peuvent inspirer l'écriture.
car même si "ça vient tout seul" quand tu es devant ton écran, tu n'es pas toujours satisfaite de ta production finale...
Mais là !!!
aaaaaah j'adore.
Bravo Ninou
et très bon concert !
Je pense fort à toi
Re:
merci merci ma rafi :)
tu restes ma commentateuse préférée...
Ah ce n'est pas qu'un prénom c'est un edifice. heu, mwa non plus j'écris pas des trucs très clairs là ;)
Quand j'entends ce prénom ya toute cette foutue passion qui fuse en moi et oui c'est vrai elle m'inspire énorément...
Gros gros bisous
je penserais à toi durant le concert... à toi assise dans un bon fauteuil rouge, pas devant Tryo, mais devant Victoria.
tu restes ma commentateuse préférée...
Ah ce n'est pas qu'un prénom c'est un edifice. heu, mwa non plus j'écris pas des trucs très clairs là ;)
Quand j'entends ce prénom ya toute cette foutue passion qui fuse en moi et oui c'est vrai elle m'inspire énorément...
Gros gros bisous
je penserais à toi durant le concert... à toi assise dans un bon fauteuil rouge, pas devant Tryo, mais devant Victoria.
Re: Re:
Jvois bien que c'est une blessure de ma Ninou que jpourrais pas combler, mais jveux quand même que tu saches que je comprends ma puce, ça me fait de la peine que tu souffres pour ça, et j'espère que ça va s'arranger. En tout cas je te le dis maintenant sur ton bloggi, mais je préfère te le dire en face, je t'aime, et je t'aime très très fort. C'est pas un hasard si le destin nous a largué à trois jours d'intervalle dans la même ville :)
jtembrasse très très beaucoup, et j'attends de pouvoir le faire en vrai le ouikène prochain quand on se voit !
Re: Re: Re:
Salut ma loute :)
Merci pour ce commentaire qui me fait chaud au coeur je souffre oui mais grâce à toi je souffre pas encore trop trop ;)
Je t'aime aussi et j'pense pas non plus que ce soit un hazard nos naissances presque simultanées huhu !
Merci pour ce commentaire qui me fait chaud au coeur je souffre oui mais grâce à toi je souffre pas encore trop trop ;)
Je t'aime aussi et j'pense pas non plus que ce soit un hazard nos naissances presque simultanées huhu !
Et si tout simplement il t'avait appeller pour savoir comment tu va?
Parce que peut etre qu'il ne ressent pas la même chose que toi pour lui mais peut être qu'il ressent quelque chose de différent, quelque chose de fraternel ou simplement amical qui l'a pousser à vouloir prendre de tes nouvelles.
C'est agréable de savoir comment vont les gens que l'on appréciee, tout simplement !
Parce que peut etre qu'il ne ressent pas la même chose que toi pour lui mais peut être qu'il ressent quelque chose de différent, quelque chose de fraternel ou simplement amical qui l'a pousser à vouloir prendre de tes nouvelles.
C'est agréable de savoir comment vont les gens que l'on appréciee, tout simplement !
LENARRATEUR
Au fait la photo du siecle est publiée...si t'a pas peur de tomber dans les pommes en voyant une telle horreur...
bises
Artur