La Peur
--> ... pour les cours ...
Le mot peur se concrétisa une seconde fois pour moi lors d’un voyage dans une région irlandaise très marécageuse. J’y était aller pour revoir un ami qui habitait depuis quelques années dans cette mystérieuse campagne.
Ce soir là, il n’était pas très tard et pourtant l’obscurité semblait avoir tout enveloppé d’un voile grisatre. Un froid glacial perçait l’étoffe de mes vêtements et se glissait sous ma laine. Un lourd brouillard de Novembre tombait sur les rivières et me faisait marcher les mains devant moi, comme un aveugle cherchant son chemin. Après quelques minutes de marche, j’attéris devant une barrière en métal. L’envie de savoir ce qu’il y avait plus loin me séduisait et je commençais à la franchir puis à avancer vers l’inconnu. Après plusieurs mètres, le brouillard s’épaississait étrangement. Intrigué, j’y pénétrais peu à peu. Mes pieds s’enfonçaient dans la terre humide qui semblait fondre sous mon poids et plus j’essayais de les sortir de cette matière visqueuse plus je m’y embourbais. Pendant un instant je crus entendre des bruits de pas et je criais pour qu’on vienne me secourir.
Quand les pas se firent plus bruyants je relevais la tête et vis des yeux effrayants, légèrement rougis, qui me fixaient d’une manière angoissante. Je cherchais en vain un corps à ces deux yeux sans le trouver.
( suite plus tard )
Ce soir là, il n’était pas très tard et pourtant l’obscurité semblait avoir tout enveloppé d’un voile grisatre. Un froid glacial perçait l’étoffe de mes vêtements et se glissait sous ma laine. Un lourd brouillard de Novembre tombait sur les rivières et me faisait marcher les mains devant moi, comme un aveugle cherchant son chemin. Après quelques minutes de marche, j’attéris devant une barrière en métal. L’envie de savoir ce qu’il y avait plus loin me séduisait et je commençais à la franchir puis à avancer vers l’inconnu. Après plusieurs mètres, le brouillard s’épaississait étrangement. Intrigué, j’y pénétrais peu à peu. Mes pieds s’enfonçaient dans la terre humide qui semblait fondre sous mon poids et plus j’essayais de les sortir de cette matière visqueuse plus je m’y embourbais. Pendant un instant je crus entendre des bruits de pas et je criais pour qu’on vienne me secourir.
Quand les pas se firent plus bruyants je relevais la tête et vis des yeux effrayants, légèrement rougis, qui me fixaient d’une manière angoissante. Je cherchais en vain un corps à ces deux yeux sans le trouver.
( suite plus tard )
Ecrit par ninoutita, le Jeudi 27 Octobre 2005, 23:59 dans la rubrique Journal qui se veut intime .
Commentaires :
Re:
oui c'est pour les cours !
Bha enfait si il y a quelques fautes qui traine c'est que je les recopié à la va vite d'un brouillon au crayon :)
Bha enfait si il y a quelques fautes qui traine c'est que je les recopié à la va vite d'un brouillon au crayon :)
Re: Re:
Okidoki!
Mais j'aime! j'attends la suite! ^__^
D'ailleurs, j'en attends pas qu'une de suiiiiiiiite! lol
Bonne journée miss
Mais j'aime! j'attends la suite! ^__^
D'ailleurs, j'en attends pas qu'une de suiiiiiiiite! lol
Bonne journée miss
Re: Re: Re:
Loool!
Hééé mais j'peux pas non plus la faire trop longue vu que c'est pr les cours!
Rolalala ;)
Hééé mais j'peux pas non plus la faire trop longue vu que c'est pr les cours!
Rolalala ;)
Re: Re: Re: Re:
Méééééééééé... tu vas quand même pas me laisser sur cette fin? heiiiiiiiiiiiiin? Steplééééééééééééééeuh!
;-)
ciorale
<3 <3 <3
Ca veut dire que j'aime bien.
Mais si c'est pour les cours, ya quelques fautes qui traînent! ;-)
BzOo mazelle